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Installation et test de la Tech Preview de Citrix VDI-in-a-Box

Introduction

Ce n’est pas un secret, je suis de prĂšs l’actualitĂ© Citrix. DerniĂšrement, j’ai pu tester la derniĂšre Tech Preview de Citrix-VDI-in-a-Box.

Pour rappel, VDI-In-a-Box se prĂ©sente comme une solution de VDI clefs en main qui permet de rationaliser l’infrastructure et la gestion des bureaux de travail d’une entreprise de petite/moyenne dimension de type TPE ou PME. L’ensemble des postes de travail sont ainsi virtualisĂ©s dans votre datacenter ou sur les quelques serveurs de l’entreprise.  La solution est compatible avec la plupart des solutions de virtualisation : XenServer bien sĂ»r, mais vous trouverez Ă©galement une appliance virtuelle compatible VMware ESXi ou Hyper-V.

Cette solution permet de centraliser l’administration et la gestion des postes de travail de l’entreprise tout en Ă©liminant la dĂ©pendance que l’on peut avoir envers le stockage ou bien encore le rĂ©seau. L’intĂ©rĂȘt principale de cette solution et qu’elle est bien sĂ»r moins coĂ»teuse que XenApp ou XenDesktop mais surtout elle est simple Ă  dĂ©ployer et Ă  gĂ©rer. Ce qui ne l’empĂȘche pas d’ĂȘtre Ă©volutive pour autant puisque vous pouvez commencer avec 1 serveur puis au fur et Ă  mesure de l’augmentation de vos effectifs/besoins, vous augmentez le nombre de serveurs de votre « grille » de serveurs. (nous y reviendrons plus tard).

Quoi de neuf dans cette nouvelle version ?

Avant de passer au dĂ©ploiement et au test, un petit tour d’horizon sur les nouveautĂ©s qui nous attendent dans cette nouvelle version qui porte le nom de « Project CuracaoÂ«Â đŸ˜‰ !

  • CompatibilitĂ© avec Windows 8 ;
  • Support de Windows 2012 Hyper-V ;
  • Optimisation du fonctionnement de Microsoft Lync pour offrir un systĂšme de communication unifiĂ© avec une haute expĂ©rience utilisateur ;
  • Authentification unique (SSO)
  • ..

Si vous voulez le dĂ©tail prĂ©cis des nouvelles fonctionnalitĂ©s, vous pouvez consulter cet article : http://blogs.citrix.com/2013/04/25/vdi-in-a-box-project-curacao/ – sur le blog (EN) de Citrix.

Ou encore sur ce blog : http://www.ervik.as/news/latest-news/3904-citrix-releases-vdi-in-a-box-project-bermuda-tech-preview

Sans plus attendre, passons au déploiement et au test.

Contexte du test et prérequis 

Lors de mon premier test de cette solution, j’avais utilisĂ© VMware ESXi
 Cette fois-ci et pour tester VDI-in-a-Box, dans un autre environnement, j’utiliserai Windows Server 2012 et Hyper-V.

Nous gĂ©rerons cette fois-ci nos utilisateurs via un Active Directory en central. Et vous devez Ă©galement disposer d’un serveur DHCP si vous souhaitez que vos bureaux virtuels puissent obtenir automatiquement des adresses IP.

Dans mon cas, l’infra pourrait ressembler à ça :

Pour le reste, cela dĂ©pend bien Ă©videmment de jusqu’oĂč vous souhaitez pousser le test.

Test et déploiement

Pour rĂ©cupĂ©rer, l’appliance virtuelle de VDI-in-the-Box, rendez-vous sur le site MyCitrix avec vos identifiants. Dans le cas d’Hyper-V, vous aurez alors un exĂ©cutable qu’il vous suffit d’exĂ©cuter. Il ajoutera automatiquement une nouvelle machine virtuelle dans l’Hyper-V Manager qui correspond au VDI Manager.

Avant d’aller plus loin, merci de noter que vous devez disposer sur votre hîte virtuel : 

  • Framework .NET 3.5
  • Hyper-V (bien sĂ»r) mais aussi la feature « Hyper-V Management Tools » dans les outils d’administration de Windows Server.

Pour aller plus loin : http://myworldofit.net/?p=1273.

Pour aller plus loin : http://vdinotes.com/2013/01/19/cirtix-implementing-vdi-in-a-box-in-a-hyper-v-2012-environment/

Si l’exĂ©cution de l’outil rĂ©cupĂ©rĂ© sur le site de MyCitrix s’est correctement dĂ©roulĂ©, vous devriez arriver sur la fenĂȘtre suivante.

Cela vous indique que l’import de l’appliance virtuelle s’est correctement dĂ©roulĂ© et que vous pouvez dĂ©sormais accĂ©der Ă  l’interface web du manager de VDI-in-a-Box.

Elle est accessible à l’URL suivante :

Dans mon cas, j’utilise un rĂ©seau interne de type 10.0.0.XXX. Cette machine virtuelle utilise l’adresse IP : 10.0.0.25.

Pour la suite, tout se passe directement dans la web interface de VDI-in-a-Box.

Pour vous y connecter, vous devez utiliser le couple d’identifiant/mot de passe par dĂ©faut suivant :

  • AccĂšs en ligne de commande
    • Login : root
    • Password : kaviza123
  • AccĂšs web interface :
    • Login : vdiadmin
    • Password : kaviza

Configuration VDI-in-a-Box

DĂšs votre arrivĂ©e, vous ĂȘtes accueilli par un assistant qui va vous guider tout au long du processus de configuration.

Les étapes clés par lesquelles nous allons passer sont les suivantes :

  1. Configuration de votre serveur et/ou de votre grille de serveurs (regroupement de serveurs).
  2. Import de l’OS de base qui servira de modĂšle personnalisĂ© en installant les applications que vous souhaitez voir disponibles aux collaborateurs, prĂ©parer la configuration, prĂ©-insĂ©rer les VM dans un domaine etc. A cette Ă©tape, vous configurez l’espace de travail tel que vous souhaitez qu’il soit perçu par vos collaborateurs.
  3. Création du bureau virtuel : politique de remise à zéro, nombre de bureaux virtuels disponibles, dénomination des VM qui seront commissionnées

  4. Création/associations des utilisateurs aux différents bureaux virtuels.

Etape 1 – Configuration de votre serveur VDI

Vous devez bien entendu indiquer le login et le password au manager VDI afin qu’il puisse se connecter directement au serveur hĂŽte et ainsi gĂ©nĂ©rer les machines virtuelles qui hĂ©bergeront les bureaux virtuels virtualisĂ©s pour chaque utilisateur.

NB : Dans mon cas, l’hyperviseur est Hyper-V et l’adresse IP est la suivante 10.0.0.10.

Nous configurons ensuite le datastore et le type de rĂ©seau Ă  utiliser. Dans mon cas il s’agit d’un test, les machines virtuelles gĂ©nĂ©rĂ©es par VDI-In-a-Box seront donc stockĂ©es sur un disque dur local et j’utilise le rĂ©seau que j’ai configurĂ© et nommĂ© « Internal« . Si vous vous rĂ©fĂ©rez au schĂ©ma Visio plus haut, il s’agit du rĂ©seau 10.0.0.15-10.0.0.50 sur lequel je dispose dĂ©jĂ  d’un contrĂŽleur de domaine et d’un serveur DHCP qui attribuera automatiquement de nouvelles adresses IP aux VM.

Si vous n’avez pas la possibilitĂ© de tester VDI-in-a-Box sur un serveur test ou que vous n’avez que votre PC pour tester, vous pouvez tout Ă  fait utiliser le rĂ©seau local de votre box Internet. De cette façon, les machines virtuelles auront tout de mĂȘme une adresse IP distribuĂ©e par le serveur DHCP de votre box.

J’en parlais au dĂ©but, VDI-in-a-Box peut prendre en charge plusieurs serveurs suivant l’évolution de vos besoins et de votre infrastructure.

Dans notre cas, il s’agit de crĂ©er 1 grille de 1 serveur.

Cette fois-ci et Ă  la diffĂ©rence de la premiĂšre installation test que j’avais effectuĂ© sur une ancienne version, nous allons cette fois-ci utiliser un Active Directory pour gĂ©rer nos diffĂ©rents utilisateurs.



Vous devez donc indiquer l’adresse IP de l’Active Directory, le nom du domaine et un compte utilisateur/systĂšme permettant d’accĂ©der Ă  ce dernier.

Enfin, n’oubliez pas d’effectuer une rĂ©servation pour l’adresse IP de votre VDI Manager afin que le serveur DHCP n’attribue pas cette IP Ă  une autre machine.

Dans mon cas, c’est directement sur le serveur DHCP. Dans le cas d’un test sur une machine connectĂ©e Ă  une Box, connectez-vous Ă  votre espace de configuration de cette derniĂšre et crĂ©Ă© un bail DHCP.

Etape 2 – CrĂ©ation de notre modĂšle de base



Ce modĂšle correspond Ă  une machine virtuelle qui servira de modĂšle aux diffĂ©rents bureaux virtuels qui seront gĂ©nĂ©rĂ©s pour nos utilisateurs. Cette machine virtuelle doit ĂȘtre crĂ©Ă©e en amont ou Ă  ce moment du processus. Nous en aurons besoin pour la suite.

Dans le cas de ce test, j’ai crĂ©Ă© une VM Windows 7 Ultimate EN, 64 bits. A cette Ă©tape, n’hĂ©sitez pas Ă  personnaliser ou a modifier la configuration de votre machine virtuelle en fonction de vos besoins : activation/paramĂ©trage du firewall Microsoft, installation d’un anti-virus, insertion dans un domaine AD, dĂ©sactivation de l’UAC, montage de points rĂ©seaux
 C’est sur cette machine que seront calquĂ©s les diffĂ©rents bureaux virtuels qui vont ĂȘtre crĂ©Ă©s pour vos utilisateurs.

Ma VM porte le nom « TEMPLATE-WIN7 » dans l’Hyper-V Manager.



Afin que notre modĂšle de base puisse ĂȘtre importĂ© et lu par VDI-in-a-Box Manager il est nĂ©cessaire d’installer un client sur la machine virtuelle cible.

Ce client peut ĂȘtre installĂ© manuellement ou automatiquement en fournissant les identifiants pour se connecter Ă  la machine virtuelle (RDP).



Notez que :

  • L’UAC doit ĂȘtre dĂ©sactivĂ© si vous souhaitez rĂ©aliser cette opĂ©ration automatiquement via l’assistant VDI-in-a-Box ;
  • Vous devez avoir activĂ© les connexions RDP (+ Ă©ventuelle configuration firewall) ;
  • Fournir un compte admin pour la connexion. Dans mon cas, le compte « thibault » sera administrateur local sur tous les futurs bureaux gĂ©nĂ©rĂ©s par VDI-in-a-Box.

Si tout se passe bien, vous allez voir que VDI-in-a-Box va prendre la main sur votre machine virtuelle et effectuer une sĂ©rie d’actions sur celle-ci.



A cette Ă©tape, vous n’avez rien d’autre Ă  faire, qu’attendre.

Si vous regardez le manager Hyper-V, vous verrez que l’assistant VDI exporte le template pour crĂ©er une nouvelle machine virtuelle.



Il reste maintenant à y déployer (toujours automatiquement, le processus continue) les différents clients et outils qui permettent à VDI-in-a-Box de gérer les différentes VM.





Lors de mon tout premier test de cette solution, j’avais rencontrĂ© quelques problĂšmes pour que VDI-in-a-Box rĂ©alise cette opĂ©ration automatiquement. TrĂšs bonne surprise jusqu’à maintenant, tout se configure presque « tout seul« . Quand bien mĂȘme, vous serez d’accord avec moi pour dire que l’assistant est vraiment clair et intuitif.

Bon, repassons aux choses sĂ©rieuses
 Notre VM template est maintenant prĂȘte.



Nous avons choisi d’utiliser un Active Directory, nous avons donc maintenant la possibilitĂ© de choisir dans quelle OU – Organizational Unit nous souhaitons que les machines virtuelles gĂ©nĂ©rĂ©es par VDI-in-Box soient automatiquement intĂ©grĂ©es.

Dans ce test, l’OU s’appellera Ă©tonnamment « VDI ». 🙂



Le VDI Manager va maintenant prĂ©parer l’image telle que vous l’avez dĂ©finie dans votre template et vĂ©rifier qu’il est capable de gĂ©nĂ©rer un bureau virtuel du dĂ©but Ă  la fin : crĂ©ation d’une nouvelle VM, connexion, rĂ©cupĂ©ration adresse IP, installation des clients, insertion dans le domaine, insertion dans l’OU etc.

N’hĂ©sitez pas Ă  garder la console Hyper-V Manager Ă  cĂŽtĂ© de la web interface. Cela vous permet de suivre la configuration et de voir ce que vos changements ou les paramĂštres impliquent dans Hyper-V Manager.





Comme vous le voyez Ă  travers les logs, la machine virtuelle est insĂ©rĂ©e automatiquement dans le domaine et dans l’OU que nous avons configurĂ© prĂ©cĂ©demment.

Nous pouvons Ă©galement nous en rendre compte directement sur l’AD.



C’est maintenant terminĂ© pour l’étape 2. Vous avez la possibilitĂ© de vous connecter une derniĂšre fois pour vĂ©rifier que votre modĂšle de base Windows 7 est bien prĂȘt et configurĂ© conformĂ©ment Ă  vos attentes.

  • VĂ©rifier que vos applications fonctionnent correctement ;
  • Personnaliser l’environnement comme bon vous semble : ajout de partages rĂ©seaux, configuration d’imprimante ;
  • Installation d’applications disponibles par dĂ©faut ;
  • 


Bref, personnaliser votre modùle comme bon vous semble ! 🙂



Etape 3 – CrĂ©ation des bureaux virtuels Ă  partie du modĂšle

Nous avons terminé la création de notre template.

Nous allons maintenant configurer quelques paramÚtres supplémentaires pour les bureaux virtuels :

  • RAM Ă  allouer pour chaque bureau virtuel,
  • codification sur la dĂ©nomination des machines virtuelles (PrĂ©fix/Suffix),
  • autoriser (ou non) le partage des disques locaux, imprimantes, pĂ©riphĂ©riques USB de l’utilisateur,
  • 




NB : Dans le champs Suffix, je n’ai pas rĂ©ussi Ă  saisir de chiffres en utilisant la touche Shift ou le pavĂ© numĂ©rique. Pour insĂ©rer, un ou plusieurs caractĂšres chiffrĂ©s, vous pouvez utiliser au besoin la touche VERR MAJ. J’ignore si ce problĂšme provient de mon clavier, Hyper-V ou de l’outil en lui-mĂȘme.

Sur l’écran suivant, vous pourrez Ă©galement spĂ©cifier le nombre maximum de bureaux virtuels qui seront crĂ©Ă©s et le nombre de bureaux disponibles par dĂ©faut Ă  tout moment.

Mes ressources n’étant, pour ma part, pas illimitĂ©es, j’ai choisi de limiter le nombre de bureaux virtuels Ă  3. Et Ă  tout moment, VDI-in-a-Box maintiendra 2 machines virtuelles crĂ©Ă©es, dĂ©marrĂ©es et prĂȘtes Ă  l’emploi.

L’intĂ©rĂȘt de la VDI et d’offrir un environnement contrĂŽlĂ© aux utilisateurs. Vous pouvez donc maintenant dĂ©finir la façon dont sont gĂ©rĂ©s les bureaux virtuels :

  • Ă  quel moment ils doivent ĂȘtre supprimĂ©s pour retrouver leur Ă©tat d’origine « modĂšle »,
  • est-ce que l’on veut que cette option soit imposĂ©e Ă  l’utilisateur,
  • 


Dans mon cas, chaque environnement virtuel sera reset/remis Ă  0 Ă  chaque dĂ©connexion de l’utilisateur. Autrement dit, un utilisateur se connectant Ă  son bureau virtuel peut installer toutes les applications qu’il souhaite (si votre modĂšle de base l’y autorise) mais Ă  chaque fois qu’il se dĂ©connecte la machine virtuelle sera dĂ©truite et une nouvelle machine virtuelle sera provisionnĂ©e avec la configuration de base que nous avons rĂ©alisĂ©e via le template.



N’hĂ©sitez pas Ă  modifier les paramĂštres selon vos besoins ou selon les tests que vous souhaitez rĂ©aliser. Une fois terminĂ©, si nous regardons dans l’Hyper-V Manager ce qu’il se passe, nous pourrons voir que plusieurs nouvelles machines virtuelles ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es.

VDI-in-a-Box prĂ©pare en effet les 2 bureaux virtuels que je lui ai demandĂ© de garder prĂȘt Ă  tout moment. Nous avons donc 2 machines virtuelles prĂȘtes Ă  l’emploi qui peuvent dĂšs Ă  prĂ©sent accueillir 2 utilisateurs.



Etape 4 – CrĂ©ation des utilisateurs et attributions des bureaux virtuels

Vu que notre installation est basĂ©e sur un Active Directory, il vous suffit de saisir l’UPN d’un utilisateur pour l’ajouter Ă  la liste des utilisateurs autorisĂ©s Ă  utilisĂ©s votre plateforme VDI.

Rendez-vous pour ce faire dans le quatriĂšme onglet « Users » lorsque vous ĂȘtes connectĂ©s sur l’interface web de VDI-in-a-Box.



Test de connexion à la plateforme et démarrage du bureau virtuel

Et voilĂ , beaucoup de bla-bla, mais c’est finalement terminĂ© ! 🙂

Il ne nous reste plus qu’à nous connecter et tester. On se reconnecte pour cela sur la page web du VDI Manager : https://ip-vdi-in-a-box/dt/ctxs

NB : Vous n’avez pas besoin de spĂ©cifier le domaine.



Si le poste depuis lequel vous vous connectez ne dispose pas du Citrix Receiver, il vous sera proposĂ© automatiquement et vous redirigera automatiquement vers le site officiel Citrix oĂč vous pourrez le tĂ©lĂ©charger.

Une fois installĂ©, vous accĂ©dez aux diffĂ©rents bureaux virtuels auxquels vous pouvez vous connecter. Comme je l’ai dit plus haut, on pourrait tout Ă  fait imaginer qu’un utilisateur ait besoin d’accĂ©der Ă  plusieurs types de bureaux virtuels. Dans ce cas, nous aurions donc plusieurs choix sur cette page.

Nous voici connectĂ©, il ne nous reste plus qu’à nous identifier pour accĂ©der Ă  notre bureau virtuel.

Cliquez sur le bureau virtuel auquel vous souhaitez accéder.



Comme vous le voyez nous arrivons comme prĂ©vu sur notre bureau complĂštement virtuel avec l’ensemble des paramĂštres/outils que vous avez pu dĂ©finir en amont.

Dans mon cas, l’utilisateur est administrateur du poste. Il peut donc installer tout ce qu’il souhaite sur la machine. Attention toutefois, s’il crĂ©Ă© des documents il doit les sauvegarder sur un point de montage rĂ©seau et/ou sur support amovible car dĂšs que nous allons nous dĂ©connecter du bureau virtuel la machine virtuelle sera dĂ©-provisionnĂ©e puis dĂ©truite. Une nouveau bureau virtuel sera alors crĂ©Ă© et insĂ©rĂ© dans le pool des bureaux disponibles et prĂȘts Ă  l’emploi.

Conclusion

Imaginons quelques instants que nous administrons une petite entreprise avec diffĂ©rents services RH, commerciaux, dĂ©veloppeur etc. Nous avons crĂ©Ă© un template de base Windows 7. Mais nous pourrions bien Ă©videmment crĂ©er plusieurs modĂšles de base sur diffĂ©rents systĂšmes d’exploitation : Windows XP, Windows 7 ou bien encore Windows 8.

Pour chacun de ces templates, nous pourrions avoir une population diffĂ©rente d’utilisateurs. Ces derniers n’auraient bien Ă©videmment pas les mĂȘmes besoins en termes d’outils et d’applications. AprĂšs tout, pourquoi mettre l’outil de gestion des payes/RH aux commerciaux ou aux autres collaborateurs ? MĂȘme chose pourquoi installer l’IDE utilisĂ© par le dĂ©veloppeur sur tous les bureaux virtuels si ce dernier n’est utilisĂ© que par une classe d’utilisateur ?

Plus simplement, certains utilisateurs pourraient ne pas ĂȘtre aussi Ă  l’aise avec Windows 7/8 que Windows XP ?

L’intĂ©rĂȘt de cette solution est de pouvoir Ă©galement crĂ©er trĂšs facilement plusieurs modĂšles de bureaux virtuels que vous allez pouvoir assigner Ă  vos utilisateurs en fonction de leurs besoins.

Il est donc facile de prendre en compte les besoins de chaque services/utilisateurs et rien ne vous oblige donc Ă  mettre le mĂȘme bureau virtuel pour l’ensemble des collaborateurs !



Exemple ci-dessus, le second étage Windows 7 / Windows 8 correspond aux différents modÚles de base que vous avez créés. Vous pouvez par exemple personnaliser le bureau virtuel qui sera mis à disposition de chaque service/collaborateur en fonction de leurs besoins. 

Par exemple, les commerciaux et les RH auraient des bureaux prĂ©-configurĂ©s avec les outils nĂ©cessaires Ă  leur travail, des droits limitĂ©s sur leurs postes, un firewall ultra sĂ©curisĂ© etc. Le tout sur des postes en Windows 7. A l’inverse, les geeks de l’IT ou les dĂ©veloppeurs auraient des bureaux en Windows 8 avec des droits administrateurs sur leur environnement de travail et Visual Studio par exemple. Nous aurions ainsi des environnements complĂštement contrĂŽlĂ©s et adaptĂ©s aux besoins de chaque classe d’utilisateurs qui peuvent bien entendu encore Ă©voluer en fonction des besoins.

Autre point, nous pourrions bien sĂ»r Ă©galement avoir une population d’utilisateurs qui aurait besoin de travailler sur plusieurs environnements diffĂ©rents en fonction de leurs besoins ou missions. A partir de lĂ , rien ne nous empĂȘche d’associer Ă  un mĂȘme utilisateur (dans mon exemple les Executive Assistant), plusieurs bureaux virtuels : Windows 7 ET Windows 8. Ces utilisateurs auront alors la possibilitĂ© de choisir leur environnement de travail au moment oĂč ils vont s’identifier sur la web interface de VDI-in-a-Box.

J’espùre que l’exemple est assez clair mais je pense que vous aurez compris le principe 🙂 !

Pour aller plus loin : Ă©volution

Votre entreprise passe de la TPE Ă  la PME ? Vous avez besoin de gĂ©rer quelques utilisateurs en plus et d’ajouter un nouveau serveur ? C’est possible !

VDI-in-a-Box vous permet d’élargir trĂšs simplement votre infrastructure VDI en ajoutant de nouveaux serveurs Ă  votre « grille de serveurs« .



Evidemment, VDI-in-a-Box est avant tout un outil qui s’adresse Ă  des entreprises petites et moyennes dimensions. Au-delĂ , il faudra peut-ĂȘtre envisager d’investir dans des solutions telles que XenApp ou XenDesktop (pour ne citer que du Citrix). 😉

Pour aller plus loin : mobilité

Autre point intéressant, certains de vos collaborateurs doivent pouvoir accéder à leurs environnements de travail depuis une tablette ou un terminal mobile ?

Il vous suffit d’installer le Client Citrix Receiver sur votre pĂ©riphĂ©rique (disponible gratuitement sur la plupart des stores : Play Store – Android, Apple Store – iOS – Windows Phone), vous pourrez alors accĂ©der Ă  votre environnement de travail depuis votre tablette ou vote tĂ©lĂ©phone trĂšs facilement.

Pour cette partie, vous pouvez consulter la section « testez votre environnement VDI depuis un pĂ©riphĂ©rique mobile » de l’article suivant. Le fonctionnement reste inchangĂ©.

Si vous avez des questions, n’hĂ©sitez pas. 🙂

Source image d’introduction – Citrix.com

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thibault

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